Auteur: Arnaud
Dumouch
Date: 05/10/2003 11:18
Chers
amis,
En ces temps où une
partie de l’islam semble pris de folie, j’aimerais revenir, quitte à
susciter le débat, sur certaines interventions et articles lus dans
Pleins feux concernant l’islam.
J’aimerais poser la
question suivante ?
D’où vient l’islam ?
Vient-il de Dieu ou d’une simple initiative humaine qui aurait réussi ?
Vient-il de Satan ?
1- L’évidence
d’une prophétie : Isaac est l’annonce du christianisme. Ismaël est
l’annonce de l’islam
Dans beaucoup
d’interventions de ce site, les auteurs ont montré judicieusement le
rapport étroit entre la vocation d’Abraham qui reçut la promesse d’une
descendance et celle d’Israël dont sortit aussi deux fils, le
christianisme et l’islam. Mettre en rapport Ismaël et la descendance
musulmane et Isaac et la descendance chrétienne est plus qu’intéressant.
Il y a une telle correspondance des textes de la Genèse concernant le
destin de ces deux fils d’Abraham et la mentalité des deux religions
qu’on ne peut manquer d’y voir une prophétie réalisée à la lettre.
Il est
remarquable de constater que les musulmans eux-mêmes se disent fils du
patriarche Abraham à travers l'un de ses descendants,
Ismaël. Comme Abraham, ils désirent se soumettre à Dieu
comme lui-même s’est soumis.
Le
second fils, appelé Isaac, fut annoncé par Dieu lui-même, directement,
lors de son apparition au chêne de Mambré sous la forme de trois
personnes. « Dieu apparut à Abraham au chêne de Mambré. Trois
personnes se tenaient devant lui. Abraham
dit : « Monseigneur » (au singulier). Dieu
répondit, je reviendrai dans un an. Tu auras un fils de ta femme
libre ». Ainsi naquit Isaac
(Genèse 21, 11), image du christianisme. Et en effet, le
christianisme se dit créé immédiatement par Dieu en l’incarnation de son
Fils. Il reçut la révélation au Mystère de la Trinité symbolisé au chêne
de Mambré par les trois personnes qui étaient un seul Dieu. Les
chrétiens sont appelés enfants de Dieu, ce qu’annonçait le fait
qu’ils sont issus d’Abraham à travers son épouse sans passer par la
servante. Quant à l’islam… C’est maintenant qu’il faut en parler.
2- Ce qui
m’étonne : pourquoi ne pas lire TOUTE cette prophétie, et non seulement
ce qui arrange une thèse ?
Je
disais tout à l’heure que la Bible nous rapporte qu’Abraham a eu deux
fils (et non un seul). Les musulmans se
nomment les esclaves de Dieu, ce qui est symbolisé par leur mère
qui fut une esclave
égyptienne. Mais je dois maintenant ajouter un point surprenant.
Elle ajoute que « c’est par ces deux fils »
que serait réalisée la promesse faite par Dieu de multiplier à l’extrême
sa descendance, au point de la rendre nombreuse comme les étoiles du Ciel.
« CES
DEUX FILS » et non un seul, Isaac… Le mieux, devant le scandale que doit
susciter une telle découverte, est de citer les textes qui le disent.
Ils sont au nombre de trois. Ainsi, PAR TROIS FOIS, Dieu dit : « Le
fils de la servante aussi ! ».
PREMIERE OCCASION : Agar, se voyant enceinte
et future mère de l’héritier, fut prise d’arrogance envers Sarah sa
maîtresse. Celle-ci la chassa donc, avec l’autorisation d’Abraham, dans
le désert. Mais l’ange de Dieu lui apparut (Genèse 16, 9-13):
« L'Ange de Yahvé lui dit: "Retourne chez ta
maîtresse et sois-lui soumise." L'Ange de Yahvé lui dit: "Je
multiplierai beaucoup ta descendance, tellement qu'on ne pourra pas la
compter." L'Ange de Yahvé lui dit: "Tu es enceinte et tu enfanteras
un fils, et tu lui donneras le nom d'Ismaël, car Yahvé a entendu ta
détresse. Celui-là sera un onagre d'homme, sa main contre tous, la main
de tous contre lui, il s'établira à la face de tous ses frères." A Yahvé
qui lui avait parlé, Agar donna ce nom: "Tu es El-Roï", car, dit-elle,
"Ai-je encore vu ici après celui qui me voit." ».
SECONDE OCCASION : Une
seconde fois, une parole de Dieu fut adressée, cette fois à Abraham, à
propos d’Ismaël. Il en était venu à douter de la promesse de Dieu (Genèse
17, 17-20): « Abraham tomba la face
contre terre, et il se mit à rire car il se disait en lui-même: "Un fils
naîtra-t-il à un homme de cent ans, et Sara qui a 90 ans va-t-elle
enfanter?" Abraham dit à Dieu: "Oh! qu'Ismaël vive devant ta face!" Mais
Dieu reprit: "Non, mais ta femme Sara te donnera un fils, tu
l'appelleras Isaac, j'établirai mon alliance avec lui, comme une
alliance perpétuelle, pour être son Dieu et celui de sa race après lui.
En faveur d'Ismaël aussi, je t'ai entendu: je le bénis, je le rendrai
fécond, je le ferai croître extrêmement, il engendrera douze princes et
je ferai de lui une grande nation. »
TROISIEME OCCASION : Enfin, après la naissance d’Isaac Genèse
21, 10-18):
« Sarah dit à Abraham: "Chasse cette servante et son fils, il ne
faut pas que le fils de cette servante hérite avec mon fils Isaac."
Cette parole déplut beaucoup à Abraham, à propos de son fils, mais Dieu
lui dit: "Ne te chagrine pas à cause du petit et de ta servante, tout ce
que Sara te demande, accorde-le, car c'est par Isaac qu'une
descendance perpétuera ton nom, mais du fils de la servante je ferai
aussi une grande nation car il est de ta race." Abraham se leva tôt,
il prit du pain et une outre d'eau qu'il donna à Agar, et il mit
l'enfant sur son épaule, puis il la renvoya. Elle s'en fut errer au
désert de Bersabée. Quand l'eau de l'outre fut épuisée, elle jeta
l'enfant sous un buisson et elle alla s'asseoir vis-à-vis, loin comme
une portée d'arc. Elle se disait en effet: "Je ne veux pas voir mourir
l'enfant!" Elle s'assit vis-à-vis et elle se mit à crier et à pleurer.
Dieu entendit les cris du petit et l'Ange de Dieu appela du ciel Agar et
lui dit: "Qu'as-tu, Agar? Ne crains pas, car Dieu a entendu les cris du
petit, là où il était. Debout! soulève le petit et tiens-le ferme,
car j'en ferai une grande nation." »
Si on en
croit ces prophétie Dieu bénit ce jour-là Ismaël et le rendit
extrêmement fécond « parce qu’il est fils d’Abraham ». Cette filiation,
nous le savons, est spirituelle avant d’être charnelle. Il s’agit de la
foi dont feraient preuve les musulmans, suivant en cela l’exemple de
leur Père Abraham.
CONCLUSION: Dans ce forum, on lit souvent à propos de l’islam :
« C’est manifestement une religion d’origine humaine (invention de
Mohamed) mais son succès par la guerre est satanique ».
Si l’on suit les prophéties, il semble qu’il faille ici de la
prudence. Certes, il semble que l'islam n'ait pas une origine divine
mais humaine. Mais il semble que cette invention de Mohamed fut par la
suite bénie de Dieu qui lui donna le succès et la puissance qu’il
voulut. Ainsi, je pense que, lorsque nous
parlons de l’islam, malgré la crise actuelle qui naît en lui et qui
est manifestement d’origine maléfique, nous devrions avoir la prudence
du docteur de la loi Gamaliel, dans les Actes des Apôtres. Il
était un sage et il disait aux membres du Sanhédrin à
propos de l’Église qui venait de naître : «
Ne vous occupez sas de ces gens là, laissez-les. Car si leur propos ou
leur œuvre vient des hommes, il se détruira de lui-même. Mais si
vraiment il vient de Dieu, vous n’arriverez pas à le détruire. Ne
risquez pas de vous trouver en guerre contre Dieu. » Comme
dit saint Paul (Romains 11, 33) : "Dieu est
un abîme de richesse et nul n'a saisi la profondeur de ses voies."
Car son seul but ne semble pas être la victoire, ici-bas, des églises
mais le salut très concret, dans l'éternité, du plus grand nombre de
ses enfants bien-aimés, quelque soit le troupeau provisoire où il vit
ici-bas.
3- Objections
Objection 1 : L’islam ne peut avoir reçu une certaine bénédiction
de dieu. Cela n’est pas possible. L’islam enseigne en effet des hérésies
concernant en particulier le mystère de Jésus-Christ dont 1e divinité
est niée explicitement. Or Dieu qui ne trompe personne, ne peut avoir
dicté dans le Coran quelque chose de faux.
Solution 1 : Il est vrai que l’islam enseigne des choses fausses
sur le mystère du Christ (il pensent qu’il n’est qu’homme), de la
Trinité et du salut par la foi. En ce sens, on peut dire que cette
religion n’a pu être directement dictée par Dieu, quoiqu’en dise
Mohamed. Cependant, le fait que l’islam n’a pas son origine première en
Dieu ne signifie pas qu’il n’a pu être béni par la suite. Au contraire,
comme le montre l’histoire d’Ismaël, il est convenable de penser que
cette religion a été bénie à cause d’Abraham, c’est-à-dire à cause de sa
foi très pure dans le Dieu un, vivant et subsistant, miséricordieux et
tout puissent, créateur du Ciel et de la terre, qui a parlé aux hommes.
Remarque : Les musulmans vénèrent Jésus comme prophète et ils pensent
qu’il est le Messie annoncé par Dieu. Ils pensent que c’est lui qui
apparaît dans sa gloire à tous les hommes, à l’heure de la mort. De
plus, ils attendent le retour du Christ et le jour du jugement où Dieu
rétribuera tous les hommes ressuscités. Ceux qui sont de bonne volonté
semblent donc disposés à accueillir favorablement la plénitude de la
révélation chrétienne, si elle leur est proposée à la 11ème
heure de leur vie…
Objection 2 : L’islam s’est implanté dans des nations qui avaient
été originellement gagnées au Christ, supprimant les Églises
patriarcales en convertissant par la force ou par la promesse de
participer à la vie politique, ses fidèles. Dieu ne peut avoir béni un
tel désastre pour son Évangile.
Solution 2 : Dieu peut parfois bénir ce qui apparaît à un regard
superficiel comme un désastre, à cause d’un bien plus profond qu’il en
fait sortir et qui a rapport avec le salut éternel des hommes.
Jean Chrysostome le confirme : « Donnez-moi deux
attelages pour une course de chars. Que les chevaux du premier
s’appellent vérité et orgueil (parfois le christianisme),
ceux du second hérésie et humilité. Et bien vous verrez le second
attelage remporter la victoire, non à cause de l’erreur mais à cause de
la de l’humilité ».
Or, comme le rapporte l’histoire, l’Église chrétienne, au moment de la
naissance de l’Islam, dans sa partie située en Orient, s’enlisait dans
des discussions théologiques sans fin qui avaient abouti à l’apparition
de multiples hérésies et schismes. De plus, étant la religion officielle
de l’Empire Romain, elle attiédissait le feu de la foi par un souci trop
grand des choses de la politique. L’islam eut donc peu de peine à amener
à elle les foules, à cause de la ferveur de sa jeunesse. Le monde fut
donc divisé en deux religions qui, ni elles voulaient subsister,
devaient sans cesse réformer leurs mœurs et convertir leurs regards vers
Dieu. C’est de cette façon là que la division peut être parfois voulue
par Dieu, comme on le voit pour la nation d’Israël après la mort de
Salomon (Dieu la divisa en deux pour lui éviter l’orgueil de l’unité).
Quant à la genèse de l’Islam elle est la réalisation de la prophétie
faite par Dieu à propos d’Ismaël
: « Il s’établira à la face de tous ses frères ».
Objection 3 : D’après saint Jean, « le voilà l’Antéchrist : il
nie le Père et le Fils. Quiconque nie le Fils ne possède pas non plus le
Père ». Or l’islam nie que Dieu ait un Fils donc il vient de
l’Antéchrist.
Solution 3 : L’islam nie que Dieu ait un fils, non par haine de
Dieu mais à cause de leur zèle de Dieu : la raison en est qu’ils n’ont
pas compris l’essence du dogme de la Trinité. Selon eux, les chrétiens
croient en trois dieux, ce qui s’oppose à la foi au Dieu unique révélée
en Abraham.
Cependant, on doit admettre avec saint Jean que puisqu’ils n’ont pas
compris le mystère du Fils de Dieu fait homme, ils ne connaissent pas
non plus le Père dont il est l’image. Ils adorent donc un Dieu qu’ils ne
connaissent pas, de la même manière que les Juifs selon la parole de
Jésus : « Vous adores ce que vous ne connaissez pas. Mais voici venir
l’heure où chacun adorera en Esprit et en vérité ».
Objection 4 : L’islam prêche la guerre sainte qui lui permet
d’implanter ses croyances par la force. Or Dieu ne convertit personne
par la force. C’est plutôt la méthode du démon selon l’Apocalypse : «
Nul ne pourra rien acheter ni vendre s’il n’est marqué du nom de la Bête
».
Solution 4 : Quel est le rôle profond de l’islam
dans le plan de Dieu : Etre un aiguillon de peur pour les autres groupes
humains, afin qu’aucun ne se trouve en repos sur terre. On le voit très
nettement de nos jours, dans les pays riches. Les Eglises ont tendance à
s’endormir et à suivre les buts du monde (liberté égoïste, respect de la
luxure). Ainsi, en France, l’islam des banlieues vient rendre
inconfortable la situation des anciens de mai 68, génération adonnée aux
plaisirs jusqu’à l’absurde. Il faut se souvenir ici de la parole
d’un Pasteur américain après le 11 septembre : « Comment une nation
qui est responsable, par avortement, de la mort de plus de 50 millions
d’enfants, pourrait-elle se croire juste devant Dieu ? ».
Comme un fléau guerrier, l’islam menace les
retraites confortables. Il peut en sortir un bien plus grand pour les
âmes: une humiliation pour les habitants de ce monde (y compris les
chrétiens), donc une inquiétude pour les certitudes des sages, donc un
début d’interrogation des orgueils. Il pourra en sortir un peu
d’humilité, donc une meilleure disposition au salut.
Remarque : Le djihad: Selon le Coran, la guerre Sainte est d’abord une
guerre militaire, ensuite ascétique. Mais comme les musulmans n’ont pas
de pensée unifiée, il semble difficile d’être totalement définitif sur
ce point.
Le Djihad au sens strict du mot est une guerre militaire, qui
vise :
1- à proscrire toute autre adoration que celle de Dieu, l’unique,
2- à se dresser contre la violence et le mal,
3- à sauvegarder la vie, les biens et l’équité,
4- à généraliser le bien et à répandre la vertu. Allah leur dit :
« Combattez-les (les non musulmans) afin que plus aucun croyant ne soit
tenté d’abjurer et que le culte tout entier soit rendu à Dieu.»
Mais cette guerre ne se pratique pas n’importe comment. Le djihad
est soumis à des règles.
1- En premier lieu, aucune guerre sainte n’est légitime si elle n’est
pas commandée par l’autorité du calife légitime.
2- Ensuite, le combat ne se fait pas n’importe comment. Il ne ressemble
en rien aux guerres barbares et sans limites qui caractérisent la colère
humaine. Il est précédé par un avertissement chevaleresque : 1- Avant
l’engagement, il faut convier l’ennemi à la conversion l’islam. Cette
première étape se fait par la discussion, l’exposition de la foi
musulmane. 2- S’il refuse, on lui propose une seconde solution : il lui
est possible de se soumettre aux codes des lois civiles Musulmanes et de
payer un tribut, sans qu’il ait besoin de devenir musulman. 3-
S’il le refuse encore, on recourt alors aux armes. On lui impose par la
force les lois civiles et morales justes, tout en le laissant libre de
garder sa propre conviction religieuse.
3- Enfin, et c’est le plus important, le but du djihad n’est pas
de convertir de force à la religion. Aux yeux des musulmans
« orthodoxes » foi ne s’impose jamais. Elle est affaire de conscience et
de don de Dieu. Il ne s’agit pas d’abord de s’enrichir ou de capturer
des esclaves. Il s’agit de tout autre chose. Deux buts sont visés : 1-
Proposer la vérité de la révélation de Mohamed. 2- Répandre et
imposer la droiture et la justice morales et civiles dans des
nations soumises à la perversion, à l’injustice, au meurtre.
Historiquement, c’est très souvent ainsi que l’islam s’est répandu à
travers le monde. Ils réalisent aussi les prophéties données par Dieu
sur Ismaël : « Il portera un arc », c’est-à-dire qu’elle sera une
religion des armes ». Il sera comme un âne sauvage et indomptable, sa
main contre tous, la main de tous contre lui », c’est-à-dire qu’elle
aura partout tendance, dès qu’elle est en position de force, à s’imposer
et à réduire les autres religions en soumission.
Objection 5 : L’histoire de l’Église montre qu’il y a toujours eu
des rivalités et des luttes entre les chrétiens et les musulmans. Ainsi
les papes catholiques ou les rois orthodoxes durent-ils lever de
nombreuses croisades. Ce qui n’aurait pas eu lieu si l’islam venait de
Dieu.
Solution 5 : Certaines croisades furent rendues nécessaires à
cause du massacre des chrétiens d’Orient perpétré par des extrémistes
islamiques et surtout par ce perpétuel danger militaire qu’a constitué
l’islam face au christianisme. Sans défense armée, il est certain que la
civilisation chrétienne aurait disparu tout entière. Cependant, comme
dans toute guerre, il y eut de nombreux excès du côté des nations
chrétiennes elles-mêmes : « Si au cours des siècles, de nombreuses
dissensions et inimitiés se sont manifestées entre chrétiens et
musulmans, le concile les exhorte tous à oublier le passé et à
s’efforcer sincèrement à la compréhension mutuelle ».
Objection 6 : Les musulmans refusent le mystère de la foi
confiante qui fait de l’homme un ami de Dieu. Or, celui qui n’aime pas
Dieu ne peut entrer dans la gloire. Donc l’islam est une religion
mauvaise et ses membres iront tous en enfer.
Solution 6 : Ce n’est pas par haine de Dieu que les musulmans
veulent rester simples serviteurs de Dieu et refusent cette parole de
Jésus : « Vous n’êtes plus des serviteurs mais des amis ». C’est
à cause de leur sens de la grandeur et de la transcendance de Dieu et il
leur semble blasphématoire de la part de l’homme qu’il prétende parler à
Dieu comme à quelqu’un qui lui est égal. Selon eux, l’homme doit
toujours approcher Dieu en l’adorant ce qu’exprime leur façon de prier
prosternés sur le sol.
Cependant, les musulmans ne se contentent pas de se dire esclaves de
Dieu mais ils mettent en lui leur confiance, ce qui constitue déjà pour
eux une disposition à l’entrée dans la gloire. Selon Christ : « En
vérité, je vous le dis, quiconque n’accueille pas le Royaume de Dieu en
petit enfant n’y entrera pas ».
Certes « disposition au salut » n’est pas salut. Ici, laissons Dieu
faire. S’il est mort sur la croix pour tous les hommes, c’est qu’il sait
leur proposer son salut à l’heure dite…
Arnaud Dumouch
Re: islam ! |
Auteur: Yves (---.220-130-66.que.mc.videotron.ca)
Date: 07/10/2003
10:18
Cher Arnaud,
C'est effectivement surprenant, cette prophétie...
Cordialement
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